La Philosophie de Allen Carlson : Une Esthétique de l’Environnement

Allen Carlson est une figure centrale dans le domaine de l’esthétique environnementale, une branche de la philosophie qui s’intéresse à la perception esthétique de la nature et des paysages. Son travail a été fondamental pour établir ce champ de recherche et pour formuler une approche systématique et rigoureuse de la manière dont nous apprécions esthétiquement l’environnement naturel. Carlson défend une esthétique environnementale qui intègre les connaissances scientifiques et écologiques, et critique les approches purement subjectives ou esthétiques traditionnelles appliquées à la nature. Cette perspective innovante invite à une réévaluation de la relation entre l’homme et la nature à travers une compréhension plus profonde et informée de notre environnement.

L’une des contributions majeures de Carlson est sa critique des approches « scéniques » et « pittoresques » de la nature. Dans l’esthétique traditionnelle, la beauté de la nature est souvent perçue de manière similaire à celle de l’art visuel, où les paysages sont appréciés pour leur composition visuelle, leurs couleurs, et leur capacité à évoquer des émotions agréables. Carlson soutient que cette approche est inadéquate pour apprécier pleinement l’environnement naturel car elle réduit la nature à une simple image esthétique, ignorant ainsi sa complexité et ses dynamiques intrinsèques.

Pour contrer cette vision limitée, Carlson propose une approche cognitiviste de l’esthétique environnementale. Selon cette perspective, l’appréciation esthétique de la nature doit être informée par une compréhension scientifique et écologique de l’environnement. Par exemple, pour apprécier pleinement la beauté d’une forêt, il ne suffit pas de se concentrer sur son apparence visuelle ; il est également crucial de comprendre les processus écologiques qui la soutiennent, tels que la photosynthèse, les cycles de croissance des arbres, et les interactions entre les différentes espèces qui y vivent.

Carlson illustre son point de vue en soulignant que notre expérience esthétique de la nature est enrichie lorsque nous comprenons les contextes écologiques et biologiques. Par exemple, connaître les habitudes migratoires des oiseaux peut transformer notre perception de leur chant en un phénomène esthétique plus riche et plus profond. De même, comprendre les relations symbiotiques entre les plantes et les champignons dans un écosystème forestier peut améliorer notre appréciation de la complexité et de la beauté de cet environnement.

Un autre aspect clé de la philosophie de Carlson est son insistance sur la nécessité de différencier l’appréciation esthétique de la nature de celle des artefacts artistiques. Selon lui, appliquer les mêmes critères esthétiques à la nature et à l’art conduit à une compréhension erronée de l’expérience esthétique de l’environnement. Les œuvres d’art sont créées intentionnellement par des artistes avec des intentions spécifiques, tandis que la nature se développe spontanément sans intention artistique. Par conséquent, l’approche esthétique de la nature doit être adaptée à ses caractéristiques uniques et à sa spontanéité.

Carlson introduit également l’idée de « catégories appropriées » pour l’appréciation esthétique de la nature. Il soutient que, pour apprécier esthétiquement un élément naturel de manière appropriée, il est nécessaire de le placer dans sa catégorie correcte. Par exemple, la perception esthétique d’une prairie en fleurs sera différente si elle est vue simplement comme un beau champ coloré ou comme un écosystème complexe avec des interactions spécifiques entre les plantes et les pollinisateurs. Cette approche catégorielle permet une appréciation plus nuancée et respectueuse de la nature, prenant en compte sa diversité et sa richesse écologique.

Un autre aspect central de la philosophie de Carlson est sa critique des approches subjectivistes de l’esthétique environnementale, qui se concentrent principalement sur les réactions émotionnelles et les préférences personnelles des individus face à la nature. Carlson argue que ces approches sont insuffisantes car elles négligent la dimension objective et intersubjective de l’expérience esthétique. Pour lui, une véritable appréciation esthétique de l’environnement doit transcender les goûts personnels et être ancrée dans une compréhension commune et scientifique de la nature.

En promouvant une approche cognitiviste et informée de l’esthétique environnementale, Carlson vise également à encourager une attitude de respect et de préservation envers la nature. Il estime que plus nous comprenons les processus naturels et les écosystèmes, plus nous sommes susceptibles de les valoriser et de les protéger. Cette perspective est particulièrement pertinente dans le contexte actuel de crise environnementale, où une appréciation informée de la nature peut contribuer à des efforts de conservation et de durabilité plus efficaces.

En conclusion, la philosophie de l’esthétique environnementale d’Allen Carlson propose une réévaluation profonde de la manière dont nous percevons et apprécions la nature. En insistant sur l’importance des connaissances scientifiques et écologiques pour une appréciation esthétique authentique, Carlson nous invite à voir la nature non seulement comme une source de beauté visuelle, mais aussi comme un ensemble complexe et dynamique de processus interconnectés. Cette approche holistique et informée offre un cadre pour développer une relation plus respectueuse et durable avec notre environnement naturel.

Les traités de conscience de Jean Paul Startre

Philosophe français et principal porte-parole de la motion existentialiste dans l’article-guerre France. L’œuvre la plus essentielle de Sartre, Being and Nothingness, doit beaucoup à ceux qui ont été éliminés avant lui, principalement Kierkegaard et Heidegger. Néanmoins, la philosophie de Sartre a une clarté et une force qui ont pris la mentalité de ses instances d’une manière beaucoup plus puissante que celle de ses prédécesseurs ou de ses contemporains existentialistes, comme Camus, Merleau-Ponty et de Beauvoir. Le style principal de toutes les philosophies existentialistes sera de déclarer que «l’existence précède l’essence». À partir de cela, Sartre prévoit de communiquer la scène selon laquelle l’homme est initialement disponible sans but ni description, se découvre dans le monde et, à ce moment-là, en réaction à l’expérience pratique, identifie le sens de son existence. C’est le revers de votre débat introduit par Aristote dans ses valeurs, cette personne est produite pour remplir un but ou un objectif, et cette réalisation du style de vie se compose en essayant d’atteindre ce but. À titre de comparaison, Sartre fait valoir qu’étant donné qu’il n’y a pas de Seigneur ou de signataire pour fournir un but à un homme, cela dépend de la personne qui trouve l’existence de le croire le mieux. Néanmoins, le subtil débat de Sartre ne compte pas sur son athéisme pour démontrer le principe existentiel. Car même une perception dans Le seigneur est, selon Sartre, un choix privé – c’est vraiment une vie et un objectif choisis. La perception au sein d’une divinité ne sera jamais exercée sur une personne. Même quand un particulier avait été d’obtenir les visions remarquables d’Abraham, c’est encore approximativement l’individu pour traduire ces visions: le discours des hallucinations divines ou lunatiques? Seul le personnel, et non le Seigneur, peut faire cette présentation. Certes, c’est vraiment un principe plus large du point de vue de Sartre que le gars est rarement contraint; il ou elle est confronté à une décision à chaque transformation. Même lorsqu’un gars est emprisonné ou même une arme gardée à l’esprit, fait valoir Sartre, c’est en fait son choix de se conformer ou de défier – les effets tendent à ne pas exempter quelqu’un de créer cette option. Cette flexibilité majeure, reconnaît Sartre, a des implications importantes. Nous sommes responsables de tout ce qui se passe. Un célibataire ne peut pas, dans l’existentialisme sartrien, faire des raisons ou reporter l’obligation à un devenir divin ou à une mère nature individuelle: le faire constituerait une tromperie personnelle ou une «mauvaise foi». Cela peut entraîner quelques fardeaux connexes pour l’individu. Pour commencer, l’angoisse résultant de la connaissance du poids corporel de l’obligation que nous maintenons tous. Tout ce que nous faisons affecte non seulement nous-mêmes, mais par nos choix et nos mesures, nous avons établi des exemples pour le reste de l’humanité. Lorsque nous faisons un choix, ce n’est vraiment pas seulement un désir privé, mais une déclaration à travers le monde que c’est ainsi que l’existence doit être dirigée. Le fardeau suivant est «l’abandon». L’existentialiste trouve «extrêmement embarrassant» que le Seigneur n’existe pas. Car cela vient après que nous soyons ainsi maintenus seuls sans soutien ni conseils en matière morale. Pratiquement, nous devons le laisser monter au fur et à mesure. Troisièmement, il existe un «désespoir». Par cela, Sartre implique que nous devons agir sans le vouloir, renoncer à l’impulsion d’avoir confiance en ce que les problèmes sortiront pour trouver le meilleur. Il n’y a absolument aucune providence. Les conséquences de l’existentialisme de Sartre sont clairement lourdes mais inévitables. Nous avons été « condamnés à se libérer ». Mais cela ne devrait pas déclencher toutes sortes de pessimisme, car ses détracteurs accusaient généralement son point de vue d’engendrer. L’existentialisme montre «une sévérité d’optimisme», nous dit Sartre. Son concept optimiste est que «le destin de l’homme est positionné à l’intérieur de lui-même».