Si vous êtes très famille, je vous conseille de ne pas lire ce qui va suivre. Il y a quelques jours, j’ai en effet eu la chance de découvrir la Croatie dans le cadre d’un incentive. Ce voyage ne pouvait pas mieux tomber : il visait à nous remercier, mes collègues et moi, d’avoir fait face à une cadence d’activité pas toujours évidente, et ce pendant plusieurs mois. Bref, j’étais lessivé. Ce petit voyage m’a donné l’occasion de faire un break plus que bienvenu. Dans l’ensemble, j’ai tendance à penser que le travail est une bonne chose. Mais je considère également que, des fois, il est nécessaire de lâcher du lest, de prendre du recul pour mieux replonger ensuite. Et la meilleure façon de prendre du recul, dans ces moments-là, reste encore de voyager au loin et de partir à l’aventure. C’est d’ailleurs plutôt amusant, quand j’y pense : la perception que j’ai des incentives a totalement changé, avec les années. Avant, je pensais que les voyages incentives n’étaient que de simples déplacements professionnels : j’y allais donc en traînant les pieds. Mais en fait, le fait que ça reste dans un contexte professionnel n’empêche pas d’en profiter pleinement. Ces vacances se font évidemment entre collègues et non en famille, mais c’est également un atout, au final. Il y a effectivement beaucoup d’activités qu’il n’est plus possible de faire, à partir du moment où l’on a des enfants. Et si je n’appréciais pas les incentives lorsque j’étais célibataire, j’ai vite découvert une fois papa qu’ils représentaient un excellent moyen de pratiquer tout ce qu’on s’interdit de vivre quand on part en vacances avec sa famille. Cela permet donc non seulement d’évacuer la pression du travail, mais aussi de vivre bien mieux en famille. Autant j’adore ma vie de famille, autant j’avoue que, de temps à autre, ça fait du bien de respirer un peu ! Histoire de mieux profiter de sa vie de rêve lorsqu’on revient. Tout ça pour dire qu’au final cet incentive m’a bien plu, tant pour le principe que pour son organisation, d’ailleurs. Tenez, je vous mets un lien vers l’agence qui l’a mis en oeuvre, si vous voulez tanner votre patron pour partir. Retrouvez plus d’informations sur l’organisateur de cette incentive à Croatie.
Mois : janvier 2018
Les dégradations de bus
La dégradation de 32 pare-brise de bus et d’autocars, pendant la nuit, a entraîné des perturbations sur les lignes assurées par N 4 Mobilités, ce lundi. Et une grosse perte d’exploitation pour l’entreprise de transports. Les prestataires de N 4 Mobilités s’efforçaient de remettre au plus vite les bus et autocars en état, ce lundi matin. Trente-deux des 53 véhicules que compte cette entreprise de transports, basée à Gretz-Armainvilliers, ont été endommagés au niveau du pare-brise, dans la nuit de dimanche à lundi. Cette filiale de Transdev assure des lignes de bus de Pontault-Combault jusqu’au-delà de Rozay-en-Brie. Les faits se sont produits entre 22 heures, dimanche soir et 4 h 30, ce lundi matin, heure à laquelle l’agent d’exploitation qui ouvrait l’entreprise a constaté les dégradations. Chaque véhicule endommagé recense un gros et unique impact, réalisé au moyen d’une masse ou d’un outil. Il est placé à chaque fois juste devant le poste de conduite, dans le champ de vision du conducteur. Pas moyen, donc, de manœuvrer de tels engins. Le ou les auteurs savaient forcément qu’ils allaient nuire à l’entreprise, en la contraignant à changer ses pare-brise détériorés. L’enquête a été confiée au commissariat de police de Pontault-Combault. Les enquêteurs de la police technique et scientifique se sont rendus sur place, ce lundi matin, pour y effectuer des prélèvements. Ces dégradations ont eu un impact conséquent sur les lignes gérées par N 4 Mobilités. « On a essayé d’assurer en priorité les dessertes scolaires. Globalement, on a 16 lignes impactées, principalement sur les réseaux Sol’R, Arlequin et Stigo », déplore Hervé Borowiack, le directeur de l’entreprise depuis août 2016.